Au chapitre des moments inoubliables de sa carrière, Claude Gingras cite « l’Elektra de 1967 avec Birgit Nilsson, Leonie Rysanek et Regina Resnik, dirigé par Karl Böhm dans la mise en scène de Wieland Wagner ; la 2e Symphonie de Mahler par Zubin Mehta en 1972 et les récitals Schubert de Till Fellner en 1997 à Lanaudière et d’Emmanuel Ax en 2011 », mais aussi, de manière générale, « l’Académie estivale de quatuor à cordes de McGill, où de jeunes quatuors jouent comme des dieux dans une salle pleine de jeunes auditeurs qui écoutent religieusement. C’est ce qu’il y a de plus beau l’été à Montréal ». Christophe Huss
Le devoir / 4 janvier 2016
Claude Gingras